Apprendre à jouer de la batterie en ligne pour tous les niveaux

Y’en a qui savent pas déconnecter !

Ce sympathique drummer ricain ne s’est pas démonté en attendant d’être dépanné. Il a au contraire monté sa batterie. Well done mate ! Un peu dangereux quand même.

Cliquez ICI pour l’article en anglais.

Vu sur le BonCoin !
Un détail cloche

Comme si c’était pas déjà assez compliqué de se trimballer une batterie pour aller jouer !
Eh eh eh
(Trouvé sur DrumTalk)

Ou du détournement, c’est au choix.

Comme le titre de ce morceau de Sébastien Tellier (2004) le suggère, le pattern de batterie ne pouvait être autre qu’une tournerie répétée en boucle, autour de laquelle se greffent diverses variations. L’auteur de ce groove n’est autre que Tony Allen, maître de l’afro beat.
J’ai relevé les appuis de base, que l’on entend sur les 5 première mesures. D’ailleurs la trame harmonique tourne sur 5 mesures.
Cliquez sur l’image pour l’agrandir.

Neige, vélo, gants, batterie, à priori aucun rapport…

Un beau tour d’horizon des intros de batterie. En 5 minutes, les styles, tempi, groupes se mélangent allègrement. Et, c’est interprété avec talent. Superbes frappe, son et mise en place.
Une bonne moitié de ces intros (et d’autres non jouées dans la vidéo ce-dessous) sont relevées par mes soins, et disponibles dans mes cours. Je dis ça, je dis rien…

Impressionnant les progrès de la science et de la médecine. En voyant un aperçu de cette vidéo j’ai d’abord cru à un fake, mais non, ce batteur joue bien avec un bras bionique, composé de deux baguettes…
Je ne sais trop quoi en penser car bien sûr le rendu est impressionnant, scientifiquement parlant. Mais cela sonne robot, clairement !

Pour l’aspect technique, voici un extrait de l’article paru dans Libération.

« Sa prothèse de bras comporte deux baguettes : l’une d’elles réagit aux impulsions électriques émises par le biceps, l’autre est complètement autonome. Dotée d’un micro et d’un accéléromètre, elle suit un algorithme qui lui permet d’adapter sa vitesse et sa fréquence de frappe au jeu de Barnes et à celui des musiciens qui l’entourent, conférant au batteur une précision métronomique. »

Source : Libération

Je ne sais pas si ça sonne mais au moins ça a de la gueule…